Frère Sœur L’improbable

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Abigail

Mon récit ,véridique, se passe en Juillet 1970.

Ayant obtenu mon permis moto a mes 16 ans, j’avais pu m’acheter une moto d’occasion, que j’avais remise en état, et je devais partir en vacances avec 3 copains.

Malheureusement, 2 semaines avant le départ, plus d’allumage, moto en panne. Catastrophe, plus de vacances

Mes parents, qui sont assez, aisés financièrement, viennent d’acheter une caravane, et doivent partir avec ma sœur jumelle.

A contre cœur, je vais donc me joindre à eux, tout en étant contant de partager mes vacances avec ma sœur Aline.

Nous voici sur la route direction comme tous les ans, les Landes: Mimizan.

Mon père, André, 40 ans, bel homme très grand 1m87, environ 90 kg, toujours tiré à quatre épingles

Ma mère, Ginette,38 ans, très sportive, entraineuse de l’équipe féminine de basket , ancienne joueuse et très active dans les mouvements féministes en 68.Toujours habillé très sexy, ses longues jambes misent en valeur par des mini jupes ou des shortes très courts. Souvent les seins nus sous ses chantailles ou chemisiers

Ma sœur, Aline Comme maman, 1m71,60 kg basketteuse, nageuse .ma jumelle, de 6mn plus âgée que moi. Nous avons eu 20 ans en février, et comme nous avons toujours été ensemble, tout compte fait je suis heureux de passer ces vacances avec elle.

Moi, c’est Allan, un peu plus grand que ma sœur, 1m75, bien bâtit, 70kg pratiquant la gymnastique, et l’aviron, les cheveux aussi châtain clair presque blond, que ma sœur, et aussi long

Arrivé au camping, nous nous installons, comme a l’habitude au fond du camp.

J’ai obtenu, de mon père, l’ autorisation d’emmener ma toile de tente, une petite canadienne de deux places, que j’installe un peu plus loin, une cinquantaine de mètres à l’abris entre deux petites dunes sous les pins, personne ne peut venir se mettre à côté de moi

Les premiers jours, tous se passe pour le mieux, plage farniente, le soir, on va à l’entrée du camp, ou on écoute les disques du judbox, on dance. Il faut dire, que les campings de l’époque était plus simples que de nos jours, juste des sanitaires, et un accueille qui sert d’épicerie et de coins de dilettante.

Cela fait donc une semaine que nous sommes là, quand le soir après le repas, Aline demande à notre père si elle peut venir dormir avec moi sous la toile.

Celui-ci me regarde, demande mon avis, et comme je n’y vois aucun inconvenants, il accepte.

J’aide donc à gonfler un pneumatique, installer un duvet, le met à côté du mien sous la toile, et nous voilà partis main dans la main comme tous les soirs vers les copains et la musique.

A minuit, nous rentrons nous coucher.

J’entre le premier, allume la lampe a gaz pour l’éclairage, la fixe a sa place sur un mat de la toile. Je m’assoie sur mon matelas, ma sœur entre, ferme la toile et s’assoie également sur son lit.

Je me tourne du côté de la tente le dos à ma sœur, puis sans un mot, je me déshabille, j’ai juste enfilé un caleçon en coton et je suis tors nu. j’entends que ma sœur fait de même., elle se déshabille

J’attends un peu, puis me tourne pour lui dire bonsoir , elle a enfilé une petite nuisette très fine et transparente, je peux voir sa poitrine au travers du tissu, deux petites poires, qui se tiennent bien droites, et je remarque qu’elle a gardé sa petite culotte. Je suis un peu confus, depuis nos 12 ou 13 ans, je n’avais plus vu ma sœur nue.

je m’approche, lui fait une bise comme si je n’avais rien vu, et lui dit bonne nuit.

J’entre dans mon duvet, elle fait de même, éteint la lumière

J’ai du mal à trouver le sommeil. Je suis très troublé, je la trouve très belle, et des idées incessantes me traversent l’esprit

Au matin, je me réveille le premier, je suis sur mon duvet, je me tourne du côté d’Aline. Tout comme moi elle est sur son duvet, mais sa chemise est remonté jusque sous son cou, et dévoile ses seins, son ventre plat et sa culotte ou je devine sa chatte qui forme un petit renflement .

Ses seins sont bien droit, avec les tétons qui remonte légèrement, je suis aux anges, depuis hier au soir, je n’arrivais pas à me les imaginer, et là, ils étaient a porté de main.

Je tends la main, mais je me retiens, c’est ma sœur, je peux pas.

Néanmoins, je glisse mon autre main sous l’élastique de mon caleçon, pour caresser mon érection matinal.

Je respire de plus en plus vite, mais j’arrive tout de même à me raisonner, je me lève, et me dirige vers les douches. Apres un petit quart d’heure sous l’eau, et après m’être branlé, je rejoins mes parents pour le petit déjeuner.

Aline est assise, les yeux dans son bol. Je dis bonjour à tout le monde, en surveillant la réaction de ma sœur. Mais celle-ci, comme d’habitude, me sourit

Je suis soulagé, elle dormait bien! et me dit joyeusement salut!!!!

La journée se passe toujours pareil, si ce n’est qu’à la plage, je regarde souvent ma sœur, surtout ses seins qui bougent et sautent dans son petit maillot de bain très mini, et que je n’avais jamais trouvé bursa escort aussi sexy.

Le soir, après la sortie nocturne, nous voilà de nouveau devant la toile de tente.

Toujours le même cérémonial, j’entre, me met sur mon lit, ma sœur fait de même,

J’attends un peu, ma sœur ne bouge plus alors je me tourne pour lui souhaiter bonne nuit.

Elle est sur le côté, sa tête sur l’avant-bras, tournée de trois quart, elle me sourit, mais elle est entièrement nue.

Je ne sais pas quoi faire ni que dire, je la regarde , et la trouve sublime.

-Heu!!, tu es ma sœur,, heu!!! c’est pas bien, on ne doit pas!!!

-Tu ne me trouve pas belle, je suis pas à ton gout???????????

Ce matin, j’avais pas cette impression, et la chose que je vois dans ta culotte, me dit le contraire.

Tout en parlant, elle libère ma queue de son carcan, et commence à me masturber.

Je craque, attrape son sein, et commence a le pétri, ma sœur me sourit

-Enfin, tu te décides, toute le journée je me suis demandé si j’oserai faire ce que j’ai fait, me mettre nue, j’en avais tellement envie, et envie de voir et toucher ta bite,

-Ce matin j’ai compris que je te faisait bander.

Je caresse sa poitrine, qui est très douce, je sens ses seins qui gonflent petit à petit, les mamelons se redressent également, et je suis étonné de voir qu’ils font presque 1 cm de long, je m’approche et en prends un entre mes lèvres.

Cela m’excite au plus haut point et la main d’Aline qui va et vient sur ma queue, commence à me faire perdre mes moyens. Je me contracte,

– Aline, je vais venir!!!Attention!!!!!

Trop tard, je gicle dans la main de ma sœur, je suis dépité

-Hé!! petit frère, tu es rapide, je suis un peu frustrée, mais je vais remédier à ça.

Tout en disant cela, elle s’essuie sur sa serviette de bain, et se penche en avant, enfourne ma bite dans sa bouche. Je suis étonné, mais j’approuve la caresse, je la prends par les hanches, l’attire vers moi elle comprend et passe son genoux de l’autre caté de moi et se met à califourchon, son petit cul devant ma figure..

J’entreprends de lécher sa chatte, qui est déjà bien humide. Je lèche de bas en haut ses lèvres puis j’entre le bout de ma lange et fouille son intimité, elle ondule des hanches, je colle mes lèvres a sa chatte, aspire en petites saccades, puis reprends mon jeu de langue, je sens son petit bouton qui se dresse, il gonfle

je tends les mains et attrape ses seins, je les tire fermement, Aline s’acharne sur ma queue, je bande très fort, je prends son clitoris entre mes lèvres et tire dessus comme pour l’avaler tout en la tirant par les mamelons. Je l’entend gémir, son cœur bat très fort, et d’un seul coup, elle s’écrase sur moi,

Elle serre ma queue entre ses lèvres, je décharge de longues giclés au fond de sa gorge. Elle émet de drôles de petits cris étouffés par ma queue, elle déglutie tous le foutre que j’ai lâché, et en même temps, elle m’inonde le visage et la bouche , j’avale également et trouve cela assez agréable presque sucré un gout que je ne connaissais pas. Elle a jouie pour la première fois avec moi.

Elle vient se coucher contre moi, sans un mot.

– Tu as tout avalé? pourquoi? que je lui demande.

-J’en avais envie, depuis longtemps, et toi tu ne t’es pas retiré non plus!

Tout en continuant de lui caresser la poitrine, je me tourne ver elle, elle est très belle, je regrette qu’il n’y ai pas plus d’éclairage.

Elle se tourne, et vient prendre mes lèvres avec les siennes, elle m’embrasse, nos langues se mêlent avec fougue et passion.

J’éteint la lumière, sers son corp nu contre moi, et on plonge dans un sommeil réparateur.

Au petit matin, la fraicheur me réveille, Aline est blottie contre moi, je sens la chaleur de sa poitrine, je ne peux m’empêcher de la caresser. Elle se réveille à son tour, me tend les lèvres, on s’embrasse avec avidité.

Elle me dit: -j’ai bien aimé hier au soir, mais j’aimerai que tu me fasse l’amour.

-On ne peux pas, déjà je trouve que l’on a dépassé les limites, de plus, si tu tombais enceinte, tu vois les parents?

-T’ai bête petit frère, maman m’a fait prendre la pilule depuis que je sors avec Marc, Elle m’a fait toute une théorie sur les dangers de coucher avec les garçons, Mais j’ai toujours eu envie de toi, je te regardai avec tes copines, je m’imaginai a leurs places, déjà, quand nous étions plus petit, j’aimais jouer avec toi, tu étais très tactile, et je faisais exprès de perdre pour avoir des gages ou tu me baissai la culotte, et tu me touchai le minou, puis après on a grandis , et fini les jeux et les bains ensemble, mais j’y pensai souvent.

-Avec Marc, tu n’as pas couché?

-Si, mais je veux avec toi, j’en ai trop rêvé,

Tout en parlant, elle s ‘est assise sur mes cuisses, et comme je bande comme un fou, elle frotte sa chatte sur ma bite. A ce moment-là, je la désire plus que tout, je capitule.

Je vois mon gland disparaitre entres ses lèvres, je sens la chaleur humide bursa escort bayan de sa chatte. Elle s’appuie de plus en plus et ses fesses viennent en appui sur mes cuisses. Elle reste un instant comme ça, les yeux mi-clos, comme il fait déjà jour, je vois bien sa figure et comprends qu’elle recherche le plaisir, pour elle et pour moi.

Puis elle commence un léger va et vient, en prenant appui sur ma poitrine.

Je ressent le frottement de ma queue sur les parois de son vagin, et ma bite gonfle de plus en plus. Je ne veux pas venir trop vite, j’essaye de me concentrer sur autre chose, mais elle est tellement belle que cela m’est très difficile.

Elle halète doucement, gémie, en petites plaintes .

Je lui caresse les seins, fais tourner les mamelons entres mes pouces et les indexes, elle attrape mes doigts et me fait pincer les bouts comme je l’avais fait la veille. Comprenant le message, je tire les roule, les maltraite

Elle prend mon tee-shirt, mord dedans pour étouffer ses cris. Ni tenant plus, je me cambre en appuis sur mes pieds, la soulève empalé sur ma bite et décharge de grandes giclées de sperme dans sa chatte.

Elle pousse un cri plus rauque, que j’espéré , personne n’aura entendu, me serre la queue dans sa chatte, et jouie , m’inondant le bas ventre.

Elle s’écrase sur ma poitrine , seins contre seins, et m’embrasse a pleine bouche. On reste ainsi quelques minutes, j’apprécie la douceur de sa peau.

Puis, je la retourne sur les dos et commence à caresser sa poitrine, qui réagit instantanément en prenant plus de volume, et ses tétons devenant plus durs.

Je passe ma main sur son ventre plat, descends jusqu’à cette petite toison blonde, je cherche son bouton, qui est déjà érigé. Elle ondule des hanches, vient au contact de mes doigts. Je prends son clitoris entre mes deux doigts, et le fait rouler, puis je le tire doucement, j’embrasse ses seins, suce les bouts en alternance, elle recommence a gémir et même à râler.

-Arrête, pas comme ça, je voudrais que tu le face par derrière!!!!

-ça va pas, tu es folle, je vais te faire mal, tu l’a déjà fait?

-Non, mais Marc à chaque fois que l’on fait l’amour, il veut me la mettre par la, et moi j’ai jamais voulu. Avec toi j’ai envie, fait le,!!!!! je veux!!!!!!

Tout en parlant, elle m’a repoussé, c’est mise à genoux et m’offre la vue de son petit cul blanc.

Je ne me fait pas prier, je glisse mes doit dans sa chatte ruisselante, et commence à masser son anus. j’insère un doigt, puis deux, elle se recule un peu comme pour me montrer d’aller plus loin.

Je passe ma queue sous elle, la met dans sa chatte, et avant qu’Aline ne bouge, je ressort et la présente sur son œillet , je pousse doucement, je sens son cul qui résiste, je me retire, mets de la salive avec mes doigts, et recommence l’opération, et je rentre mon gland en entier.

Je demande si tout va bien, elle me répond va y même si tu me fait mal, je ne t’en voudrais pas, puisque je te l’ai demandé.

Je la prends par les hanche, et je glisse doucement en avant, je sens ma bite à l’étroit dans son cul, je suis bien, et sans réfléchir, je m’enfonce d’un coup, Aline pousse un cris sauvage, et essaye de se retirer, mais je la maintient fermement, on ne bouge plus, ses fesse collées sur mes cuisses

J’ai peur que son cri n’ai été entendu par les voisins, mais c’est trop tard, de plus, il est à peine 6h30, et pas mal de gens dorment encore.

-Veut tu que l’on arrête, je t’ai vraiment fait mal?

-Non, je veux que tu me baise à fond, va y!.

Je commence un va et vient très lent, Aline se détend, elle se laisse aller.

Je regarde ma queue qui entre et qui sort de son cul, le cul de ma sœur!

Je suis étonné, car elle commence à prendre du plaisir, et à pousser des petits

: oui!!! oui!!oui, ho! c’est bon, ho! plus fort, va plus fort!!!!!

Alors, je la prends de toute mes force, mes couilles claquent contre ses fesses,

je suis en sueur, elle aussi, et je sens ma queue grossir encor plus, je l’enfonce bien au fond, et je décharge en longue saccade. ma sœur s’écroule sur le ventre, je suis toujours en elle.

Puis je sors de son cul doucement au fur et à mesure que je me ramollie.

Je cherche les lèvres de ma sœur, je l’embrasse, et je vois des larmes sur ses joues

Elle ne dit pas un mot, moi non plus. on s’endort.

D’un seul coup, je me réveille en sursaut, je regarde ma montre, il est 8h30, et les parents veulent que nous déjeunions ensemble a 9h.

Je regarde ma sœur qui dort nue, une serviette de bain entre les jambes. je la secoue doucement, elle s’étire, me sourit, et me tend les lèvres pour m’embrasser amoureusement.

Je lui demande alors, de se dépêcher, car on ne peut pas aller déjeuner. comme ça, Aline a enlevé la serviette, et du sperme coule de son petit cul et de sa chatte, elle enfile une robe prend ses affaires de toilette et nous allons aux sanitaires prendre une bonne douche

On passe à la tente, on s’habille présentable, escort bursa s’est à dire en maillot de bain avec une petite chemise nouée sur le nombril pour Aline, et un polo pour moi.

Quand on arrive à la caravane, les parents sont à table et nous attendent pour déjeuner, il est 9h.

Comme tous les matin, on papotent de tous et de rien, quand ma mère regarde Aline

-Tu as l’air bien fatiguée, tu as les yeux cernés, tu vas bien?

-Heu!! oui, mais j’ai mal dormi, j’ai fait des cauchemars, mais tous va bien.

Je regarde ma sœur, et je crois bien qu’elle a rougie, elle a toujours eu du mal à mentir.

la journée se passe comme a l’habitude, si ce n’est, que l’on est resté moins longtemps a plage, on est rentré au camp, en faisant une halte dans une clairière, assez éloigne de la plage, là on s’est mis à poil, on s’est caressé, et on a encore baissé. Tous les endroit où l’on peut être seul, on en profite, je la prend dans toutes les positions possibles, tous ce que j’ai pu voir sur mes revues porno, je les assai,, je me fait sucer, je lui lèche sa chatte, je lui caresse et même lui torture les seins,. On ne vit plus que pour le sexe.

Les journées défilent à une vitesse vertigineuse. si bien que ce vendredi matin, au petit déjeuner, le haut-parleur du camp annonce pour ce soir, une soirée spéciale pour la fin du séjour de mois de juillet. Je dois dire que la journée pour ma sœur et moi même, est assez triste, on passe l’après-midi à se baigner avec les copains, et Aline s’est même faite draguer par Isaak, le plus jeune de la bande, il a 16 ans . Il a voulu l’embrasser, mais elle a refusé, moi je regardai du coin de l’œil, mais je réagissait pas.

Puis on est rentré, pour une fois avant les parents. On a joué aux dames sous l’auvent de la caravane.

les parents rentrés, on aide à préparer le souper, puis on mange dans une ambiance assez relative, on sait tous que la fin des vacances est proche.

Apres la vaisselle, ma mère nous dit d’aller faire la toilette, et demande a Aline, de venir se préparer avec elle dans la caravane pour la soirée.

On part main dans la main comme toujours, on passe sous la toile prendre nos affaires de toilettes, et on fille vers les douches

Je passe du coté hommes, et Aline du coté femme.

Il n’y a personne chez les femmes, alors une idée me vient, je me glisse vers les femmes, et comme il n’y a personne, j’appelle doucement Aline.

Elle me demande ce qu’il y a, je lui demande de m’ouvrir la porte, ce qu’elle fait.

J’entre vite dans la cabine, elle est surprise, elle est déjà nue, prête à se doucher.

Je la plaque contre le mur carrelé, je lui remonte les bras sur la tête, ce qui lui fait remonter la poitrine qui est déjà toute gonflé, les auréoles sont bombées, et ces mamelons bien durs. Elle respire par saccades.

Tout en lui tenant les mains d’une seul main, je fais glisser mon slip de bain et me retrouve nu, la queue bien droite.

Je fléchie les genoux, et frotte ma queue sur sa chatte, puis d’un seul coup je me relève la pénétrant brusquement. Elle pousse un petit cri que j’étouffe avec mes lèvres.je ne bouge plus. Elle relevé ses jambes derrière moi, et m’enserre la taille. Je lâche ses mains, elle m’attrape par le cou.

On ne bouge plus, je sens ma bite qui gonfle de plus en plus, ma sœur est empalée sur mon sexe, on est bien.

Et je décharge tout mon foutre dans son ventre, sans avoir fait un mouvement.

Je me dégage de son étreinte, et la fait assoir sur les banc de bois qui est en coin de mur.

Je lui écarte les cuisse, mettant sa chatte en valeur. Je prends de l’eau dans ma main et lui mouille son sexe, puis je prends mon blaireau et mon savon, le fait mousser et lui enduit tout son bas ventre. Je prends mon rasoir, mets une lame neuve, ce sont des lames a double tranchants: et lui rase tous les poils, minutieusement, avec douceur.

-Tu es fou, que fait tu? pourquoi?

-Je voulais que tu sois vraiment nue, d’ailleurs je vais faire pareille sur moi, ce sera notre secret.

Elle m’embrasse a pleine bouche, nos langues se cherchent, s’enroulent se savourent.

Elle me murmure

-Je t’aime, je t’appartiens, mon corp est à toi, tu peux me demander tout ce que tu veux, et me faire tout ce que tu veux. D’ailleurs, j’aime quand tu me prends tendrement, avec douceur, et que tu me caresse , que tu bois ma chatte, jamais mon copain ne l’avait fait. Mais j’aime aussi que tu sois brutal, que tu me fasse mal aux seins, que tu me les pinces, et que tu m’encule sauvagement, je suis à toi.

Je la serre dans mes bras, l’embrasse et je sors de sa douche avec une serviette autour des reins, mes affaires a la main, je croise une jeune femme toute étonnée

Ma douche terminé, je vais a la caravane pour me préparer pour la soirée.

Mon père me dit de ne pas aller dans la chambre, les filles se préparent.

Il est prêt, un jean, un pull Leger, je fais comme lui, je prends mon ensemble en jean a pattes d’eléphe

On commence à s’impatienter, sous l’auvent, quand la porte s’ouvre enfin.

Je n’en crois pas mes yeux, elles sont toutes deux habillées de la même robe rouge, longue aux chevilles, maintenue, croisée devant, deux bandes de tissus qui cachent la poitrine et nouées dans le cou.

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