Ma coloc et moi – 2

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Babes

Ma coloc et moi – 2Je suis en train de bouquiner dans mon lit. Rebecca entre dans ma chambre et ferme la porte sans bruit. Il est presque minuit.- Becky… J’allais éteindre.- J’ai envie.- Rebecca…Elle vient contre le lit, au-dessus de moi. Elle m’embrasse sur la bouche, sourit, et dit:- J’ai envie. Je viens. C’est tout.Une érection pointe.Je lutte.- Non, sérieux, j’étais déjà naze pendant les cours… Je vais être destroy demain si on…Elle m’ignore complètement. Elle déboutonne déjà sa chemise de nuit, et la fait tomber au sol. Elle est nue dessous. Nue et épilée.- Regarde, je me suis fait une coupe.- C’est… waw.Elle s’est rasé la chatte. Sa fente est toute petite, serrée, tout juste écartée par le clitoris bombé dont on devine la présence entre les plis délicats. La peau est lisse, soyeuse, blanc pâle, ornée de taches de rousseur éparses, orangées. Il ne reste pas un poil roux.- Tu me trouves belle ?Elle a les mains derrière le dos, timide, ses petits seins citrons pointent vers moi, appellent mes caresses.- Je suis raide-dingue de ton corps !Elle sourit, coquine, soulève la couette, et, comme ce matin, m’enlève mon T-shirt puis mon caleçon. Elle regarde ma bite et la prend entre ses doigts.- Tu es déjà tout dur.C’est un euphémisme. J’ai la trique, oui !- Tu me fais de l’effet.Elle me branle avec douceur, en fixant toujours ma queue.- Je peux goûter ?- Rebecca…Elle ne m’écoute pas. Elle s’agenouille sur le tapis, nue, le cul en arrière, et me lèche le gland d’un air candide, en me regardant dans les yeux.- Mmmh, ça a le goût de…Elle ne finit pas sa phrase, elle passe sa langue sous mon gland, qui gonfle un peu plus à chaque caresse.- Tu aimes ?- Mmm mmm.Elle sourit en fronçant le nez, ses taches de rousseur sont comme des étoiles sur son visage, elle ferme les paupières et me gobe lentement. Sa langue est chaude, douce. Sa bouche est trop petite pour m’avaler entier, ses lèvres se contractent autour de la queue dressée. Elle se masturbe d’une main agile, et je la mate en réalisant peu à peu qu’elle me suce pour de bon, et qu’elle y prend du plaisir. ses cheveux roux tombent sur son visage, mais je vois encore la bouche s’activer sur ma pine.J’espère qu’elle n’a pas dans l’idée qu’on le fasse ensemble – je ne crois pas que je pourrais résister, même si (ouh qu’elle suce bien !) je sais que c’est une connerie à ne pas faire.Elle se cambre, cul en arrière, j’entends le bruit de succion de ses doigts qui entrent et sortent de sa petite chatte glabre, elle gémit en avalant ma queue jusque dans sa gorge, je sens sa langue, ses dents, son palais, elle crache de la salive le long de ma bite chaque fois qu’elle libère mon gland, avant de le reprendre en bouche et de repartir à sa conquête.Elle se tend sur ses doigts, lâche ma queue, se redresse, à genoux sur le tapis, et se masturbe frénétiquement, les yeux fermés, la bouche entrouverte. Une salive épaisse coule de ses lèvres sur ses seins citrons, dressés, magnifiques..Je me mets debout devant elle, ma queue juste devant sa bouche, et je me branle rapidement en la matant, le regard avide. Elle a deux doigts qui entrent et sortent de sa chatte à intervalles réguliers. Son autre main tourne sur son clitoris, en rythme, elle est belle, sauvage, bestiale, ses petits nichons luisent de transpiration, ils sont gonflés, brillants. Elle gémit, je sais qu’elle va jouir bientôt, je me détends et m’astique plus pronfondément, du gland aux couilles.Elle râle soudain, et s’arc-boute sur le sol, a****le.- Raaah….raaaaahaaa… aaah…aaah…aaaaaaaaahaaaa… aaah..J’explose. Le sperme lui vrille le visage, du menton aux yeux, j’approche ma queue de sa bouche et décharge sur sa langue tendue, elle me gobe, inconsciemment, la caresse de sa langue sous mon gland redouble mon plaisir, j’éjacule en jets puissants, urgents, jusque dans sa gorge. Elle pousse sur ma queue pour m’avaler plus loin, une main sur mes fesses, l’autre sur sa chatte.Le dernier spasme agite ma bite, je me détends, je souris, elle me regarde, verge entre ses lèvres, et fronce le nez en souriant, rassasiée, satisfaite. Je ne peux pas m’empêcher de soupirer bruyamment.- Ooh… Waw… Merci !Elle me suce encore un instant puis laisse mon gland sortir lentement de sa bouche. Un filet de sperme s’échappe de ses lèvres et coule sur son menton.Elle crache le reste dans sa main, et l’essuie sur ma couette.- Bouah… dégueu.Elle avale sa salive dans une grimace, en tressaillant, elle ne semble pas sentir le trait de jute qui lui couvre le visage, ou ne pas s’en soucier. Elle ne fait rien pour le nettoyer. Elle se relève en frottant son corps contre le mien. Elle m’embrasse. Du sperme de son menton passe sur le mien.- Bonne nuit.- Bonne… nuit.Elle ramasse sa chemise de nuit et sort, nue, dans le couloir. Ses fesses ont la forme d’un coeur.Je m’allonge, coeur battant. Ouais, si elle insiste pour qu’on le fasse ensemble, je suis foutu.Le sommeil est long à venir.****- Laisse-toi faire.Becky tient un rasoir à la main. Je suis debout, devant le lavabo, rempli d’eau. Elle a baissé mon pantalon et mon slip, et tient mon sexe en érection entre ses doigts. Elle me rase lentement, en souriant.- Tu vas avoir une queue toute neuve.Elle me lèche le gland d’un air coquin, langue pointue, avant de reprendre le rasage intime.Je frissonne d’effroi internet casino quand elle passe la lame sur mes couilles, ôtant, avec des passages répétés, les longs poils épars qui les recouvrent.Elle se penche, j’essaye de voir son soutif sous sa chemisette trop grande. Elle s’en aperçoit et sourit.- Voilà.Elle me rince à l’eau froide, et m’essuie avec une petite serviette. Je regarde mon sexe épilé d’un air dubitatif. Va falloir que je fasse gaffe à ce que mes potes ne s’en aperçoivent pas, à la piscine.- Tu viens ?Je remets mon slip et mon pantalon sur ma queue tendue et la suit.Elle s’allonge sur son lit, jambes écartées – elle porte une jupe plissée à carreaux, et une culotte rouge dessous.- On le fait, d’accord ?- Rebecca, non. Qu’on… que l’on… “joue”… à se faire plaisir, passe encore, c’est bon et tout, mais si on le fait, là, c’est… c’est pas pareil. Et puis il y a des risques: imagine que tu tombes enceinte !Becky se caresse à travers sa culotte. Je regarde, hypnotisé. J’ai le bide qui se tord tellement j’ai envie d’elle.- Je prends la pilule.- Quoi ? Mais… depuis quand ? Je ne savais pas !Elle se marre.- Tu n’as pas à le savoir. C’est un truc entre filles. Viens. S’il-te-plaît.Elle déboutonne son chemisier. Un soutif rouge en soie couvre ses petits nichons roux. Elle fait glisser sa culotte le long de ses jambes. Sa petite chatte rasée m’appelle. Je m’approche, malgré moi, guidé par ma queue.Rebecca s’assied sur le lit. Elle déboutonne mon jean, le baisse jusqu’à mes pieds en me couvrant le ventre de baisers, puis elle tire mon slip vers le bas. Les baisers se déplacent vers ma pine toute nue qu’elle finit par gober langoureusement. Elle me suce sans hâte pendant une minute, avant de me sourire.- Viens.Elle s’allonge sur le lit, en m’attirant à elle.- Rebecca…Elle écarte les jambes, je suis allongé sur elle, mon sexe est déjà tout contre la petite fente épilée, elle s’en saisit et le fait tourner sur sa vulve humide. C’est chaud. Et extraordinairement doux. Elle m’embrasse tendrement, ouvre les yeux, me fixe intensément.- Personne ne le saura, Sean. Personne.- Becky…- Et ça ne change rien.- Reb..,Elle accentue la pression sur ma bite. J’ai la respiration coupée. C’est trop bon. Elle trempe mon gland dans sa mouille abondante.- Viens. Viens en moi.Je hoche la tête, vaincu.- Oh, viens, viens…Elle bascule les reins, par petits-à-coups, en chuchotant une litanie de ‘viensviensviensviens’. Elle guide ma queue dans l’antre chaud et étroit. Son vagin me happe, peu à peu, je donne des petits coups de reins, me retire, reviens, chaque fois la chatte fendue m’accueille un peu plus loin jusqu’à ce que…(- oooh ouiiii….)Je suis en elle, perdu dans ses tréfonds, dans son humidité, je la sens partout et nulle part autour de moi, j’ai l’impression que ma queue est immense et minuscule, que je me noie dans sa chatte étroite, qu’elle m’inonde, me retient, m’assoiffe de désir et de plaisir et les assouvit.J’ouvre les yeux. Elle pleure en souriant, je l’embrasse, elle me rend le baiser sauvagement, elle ondule le bassin, pousse sur mes fesses pour que je la pénètre plus fort, plus loin, je sens ses petits seins contre ma poitrine, les baleines du soutif rouge me vrillent la peau, je la baise et l’embrasse et la baise et l’embrasse encore.Elle s’ouvre davantage, ses jambes m’enserrent, elle me presse en elle, je sens ma bite merveilleusement aspirée, Becky remue la tête de droite à gauche en gémissant des petits “oui… oui… oui…” chuchotés, je base le rythme de mes coups de reins, de mes coups de pine, sur ses encouragements, elle respire plus fort, s’enivre en remuant la tête plus vite, ses gémissements deviennent des râles incohérents, puis des couinements, j’accélère, elle se tend, ne respire plus, puis expire enfin en un long râle de plaisir défendu, je me love au fond d’elle et sens sa chatte se contracter longuement autour de mon sexe gonflé.Elle ouvre les yeux et m’embrasse avec fougue.- Oh la claque c’est TROP bon !Nos bouches se collent, sa langue leste tourne sur la mienne, je recommence à remuer en elle, ma bite colle, a du mal à repartir.- Attends.Elle me pousse, je me retire, ma queue est énorme, je bande comme jamais. L’air frais me chatouille.Elle se redresse précautionneusement.- Ça va, ça n’a pas taché le lit.Elle ôte sa jupe, je remarque une tache de sang dessus – et entre ses jambes aussi. J’en ai le long des couilles.- Ça… Ça te fait mal ?Elle rit.- Pas du tout.Elle se passe un gant sur les zones de son corps tachées, puis le rince dans une petite bassine, et vient me nettoyer. Elle a tout prévu. Le gant est froid sur mon sexe.- Allonge-toi.J’obéis. Elle sourit, passe au-dessus de moi, et frotte sa fente minuscule sur ma pine, la tête rejetée en arrière. Je caresse ses petits nichons un sourire aux lèvres. Elle est belle.Elle se soulève légèrement, me mène au bord de sa vulve et force la pénétration, elle pousse lentement, mais sans discontinuer, mes mains descendent sur son cul, je la caresse, et sens ma queue parcourir le chemin en elle, dure, pressée, gourmande. Elle me pose deux mains sur la poitrine, et entame de longs va-et-vient, je vois sa petite chatte s’écarter pour laisser passer ma bite luisante de mouille, je la pistonne sans hâte, elle me baise jusqu’à la garde canlı poker oyna en murmurant:- oh, je la sens… je la sens… elle est si grosse… c’est doux… je la sens… oh… Sean… viens….Je fixe mon regard sur la fente ouverte, sur le clitoris, tendu à craquer, qui m’évoque un abricot à peine mûr tacheté de roux dont les moitiés s’ouvrent délicatement au passage de mon sexe souple, je me perds dans la vision fugace de mon gland qui caresse les bords soyeux avant de replonger dans l’intimité si féminine de ma belle, belle Becky. Elle accélère les basculements de son bassin, elle me masse la queue dans ses profondeurs inexplorées, la litanie de plaisir reprend, chuchotée vers le ciel:- ohouiouioui…ohouioui…oh…ohoui…oh…Je ne tiens plus, je malaxe ses petits seins et pousse dans son vagin, puissamment, mon gland gonfle, un éclair me vrille les couilles, le bide, et j’explose en elle, des milliers d’étoiles dans la tête, le sperme jaillit en saccades violentes, je me retiens de hurler de plaisir, elle s’affale sur moi, m’encourage, et continue de me sauter jusqu’au dernier spasme, jusqu’à la dernière goutte, elle me chevauche longuement, me fait glisser en elle du gland aux pubis, du pubis au gland, toujours plus fermement, toujours plus lentement.Elle m’embrasse, je sens ses larmes couler sur mon visage, je les lui lèche, elle sourit dans ses pleurs, ses fesses sont douces sous mes mains, elle s’arrête de bouger et reste sur moi, me garde lové au fond de son être, au fond de sa première fois – et de la mienne.Elle éteint la lumière sur la table de nuit d’une pichenette, sans cesser de m’embrasser.Je ne sais pas si je pourrai dormir – ni si j’en ai envie.——————–Becky pousse la porte de ma chambre.Elle porte sa chemise de nuit courte à froufrous, presque transparente. Ses petits seins citrons pointent dessous, il fait un peu frais ce soir. Elle porte une petite culotte blanche.- Sean…Je me rends compte que je suis comme hypnotisé par elle. J’essaye d’arrêter de la détailler ainsi.- Becky ?Elle a l’air gêné. Elle croise ses bras, comme pour se protéger. Elle ne me regarde pas dans les yeux.- J’ai… j’ai invité un mec ce soir. Il m’attend, dans ma chambre. Dans le lit.Je ne peux réprimer un moment de jalousie.Totalement idiote.Rebecca ne m’appartient pas. On s’est juste amusé l’un avec l’autre.- Je vois.J’imagine le mec, mieux foutu que moi, en train de se branler sous les draps en attendant que Becky vienne le sucer.- Tu ne m’en veux pas ?Je bous intérieurement. Evidemment, que je lui en veux, elle est à croquer, et prête à baiser avec un autre !- Non, bien sûr que non. Ce n’est pas comme si nous étions un couple. On a juste essayé un truc ou deux ensemble, c’était sympa.Elle hoche la tête et vient m’embrasser. Ses lèvres sont fraîches. Je fonds.- Merci.Elle sort et ferme la porte derrière elle.***- Oh… oui… oh… oui…Les gémissements de Becky m’excitent et me vrillent le coeur. Je suis devant sa porte, penché, je regarde par le trou de la serrure. ils ont laissé la pleine lumière allumée, il la prend en levrette, Becky me fait face, elle s’agrippe aux bords du lit, les yeux fermés, une expression d’intense plaisir sur le visage. Ses tâches de rousseur parsèment ses joues rougies, ses cheveux roux ondulés roulent en vague sur ses épaules et sur son front.- Oh… oh…oh…aoh….Elle a gardé sa nuisette, le gars l’a juste relevée sur ses fesses avant de la prendre. Je me demande si elle a toujours sa culotte, ou s’il lui a enlevée. Elle est belle, dans son plaisir. Je me masturbe doucement. Le mec sait y faire, il la lime avec régularité, pas trop vite, pas trop lentement, il a l’air de chercher le plaisir de Becky avant le sien, j’espérais qu’il serait moins bon que moi, du haut de ma très maigre expérience, mais elle a vraiment l’air de prendre son pied.Il ne la caresse pas. Moi, je l’aurais fait. Il garde ses mains bien calées sur les hanches de ma Rebecca, comme s’il avait peur qu’elle ne s’échappe. Peut-être est-ce que ça lui donne l’impression de mieux maîtriser la situation ? Je suis sûr que Becky préférerait qu’il caresse son dos, ses fesses, ses petits seins pointus.- Oh oui… plus vite, plus vite…Le gars accélère. Becky fronce le visage, elle y prend du plaisir, on dirait qu’elle va en pleurer de bonheur.- Oui… oui… oui… oui… ah… oui…oui…ah… plus vite plus vite !Elle s’affale sur le lit, fesses en l’air. elle n’a plus sa culotte. Le mec la lime profondément, en donnant de grands coups de reins rapides, mais toujours réguliers. Les gémissements de Becky deviennent urgents, aigüs.- Rôô…Le mec jouit dans la chatte rousse – j’espère qu’il a mis une capote – je tire sur ma queue en les matant, Becky ne respire plus, elle est sur une autre planète, son petit cul blanc comme une lune au dessus d’elle, elle continue à onduler le bassin pour le mec, qui la baise toujours, sans ralentir, comme s’il n’avait pas éjaculé.- Oh… oh….oooooh….Rebecca vient, belle comme un ange. Je la regarde en souriant douloureusement. Elle tressaille, se tend, se relève à moitié, se fige sur la queue qui a cessé de bouger en elle. Elle chuchote sa jouissance.- Ooooooh….aaaah……Il s’affale sur elle, et l’embrasse dans le cou. Je n’ai pas le coeur de les voir se palucher, poker oyna se remercier. Je regagne silencieusement ma chambre, bite à la main.***Il est bientôt deux heures du matin. Je ne dors pas. J’ai chaud, j’ai froid, sous ma couette, je n’arrive pas à trouver le sommeil, l’idée que Rebecca soit de l’autre côté du couloir avec un mec m’obsède. Quand je ferme les yeux, je vois son visage pointu, pétri d’extase, à travers le trou de la serrure. J’en suis revenu au début, à l’espionner pendant qu’elle prend son plaisir dans son coin. Sans moi.Je sursaute quand j’entends sa voix, juste à côté de mon oreille.- Je n’arrive pas à dormir.Je me tourne vers elle. On est dans le noir, je la vois à peine, un simple filet de lumière du réverbère au-dehors passe à travers les volets de ma chambre.- Moi non plus.Elle se penche vers moi et m’embrasse sur les lèvres.- Tu me fais une place ?Je me pousse contre le mur, elle se glisse, nue, sous les draps.- Et ton mec ? Il sait que tu es là ?Elle glisse sa main sur mon ventre, dans mon caleçon, et saisit mon sexe mou.- Il dort.Je ne peux m’empêcher de poser la question.- C’était bon ?- Oui. Et avant que tu ne demandes, il avait une capote.- Oh.- Allonge-toi sur le dos, j’ai envie de toi.J’obéis. Elle me retire mon T-shirt, puis descend en embrassant mon torse, elle passe sous la couette. Sa langue court sur mon sternum. Mon nombril. Ma bite. Elle l’enroule autour du gland, pour le faire durcir, avant de l’avaler entièrement, la mollesse me quitte, je me perds dans sa bouche, je bande de plus en plus fort, elle me suce lentement, du gland aux couilles, des couilles au gland, lascivement, elle me fait goûter à toute la tendresse de sa langue pointue, elle m’humecte la queue de sa salive épaisse, c’est chaud, c’est doux, je ferme les yeux et profite du halo cotonneux dans lequel je me sens partir.Elle me branle tout en gardant sa langue tendue sous mon gland, le plaisir est intense, épicé, je vole dans les airs, je sais que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme. Je plonge mes mains dans ses cheveux, espérant qu’elle ralentisse.Elle se méprend, et me gobe complètement, je me tends, prêt à jouir, mais elle ne bouge plus sur ma queue… le plaisir me submerge presque, je serre les abdos, je ne respire plus, priant pour qu’elle patiente avant de repartir… mon sexe bat dans sa bouche, entre ses dents, je pense à autre chose… l’alerte passe. De justesse.Elle sourit sur ma queue et remonte le long de mon corps. Ses seins nus sont tout contre ma poitrine, ils sont frais et drus. Elle m’embrasse fougueusement, sa langue cherche la mienne, joue avec, fouille dans ma bouche avec force, je suis surpris par l’intensité du baiser, je bande de plus belle. Sa main guide mon sexe en elle, la pénétration est facile, fluide, je me demande si le fait d’avoir baisé une fois ce soir la rend plus détendue à ce niveau-là, elle rejette la tête en arrière et gémit, un couinement audible et empressé.Elle s’enfonce sur moi de toutes ses forces, elle me baise, me saute, je ne suis qu’un sexe sur lequel elle danse au creux de la nuit, j’en tire un plaisir fou mais il n’y a pas de partage, je l’observe se planter sur moi comme si sa vie en dépendait, et gémir, gémir de plus en plus fort.- Oh… hin…hin… hin…. ha…hin….J’ai la tête dans ses cheveux roux parfumés, ma langue court sur son cou, sur son menton, sur ses lèvres, je lui caresse le dos, lui écarte les fesses, elle se masturbe sur ma queue en me mordillant les oreilles, elle bave quand je l’embrasse, bouche ouverte, ses gémissements deviennent plus rauques, plus profonds, je souris, je suis heureux, je suis perdu dans son humidité féminine, je la sens partout autour de moi, sous mes mains, sur ma queue, sous ma langue, sur mon corps, elle transpire, elle me dévore de l’intérieur, ça dure, et ça dure encore, je voudrais la baiser jusqu’au bout de la nuit.Elle se soulève, j’att**** ses seins citrons, je tâte leur grain, je titille les tétons durcis, elle se tend au-dessus de moi et laisse échapper un râle rauque, elle jouit sur moi, sa chatte se contracte plusieurs fois, je me demande si les filles éjaculent à leur manière, je compte les contractions, de plus en plus faibles, elle ne bouge plus, tendue en l’air, les seins dardant sous mes mains.- Oooooooh….. ooooh…..ouusshhhh…..Ses bras tremblent, faiblissent, elle redescend vers moi, comme au ralenti, elle se love contre moi, me conservant en elle, et m’embrasse tendrement.- Merci…Je souris, sans répondre, je lui rends son baiser, fougueux et doux. Sa voix chuchote à mon oreille.- Tu m’as manqué, tout-à-l’heure, quand j’étais avec le mec que j’ai ramené.Je la serre contre moi.- Viens.Elle se retire, me fait me mettre debout. Elle s’assied sur le lit. Je me branle devant elle, je sais qu’elle ouvre la bouche, dans le noir, prête à boire mon plaisir. J’entends ses doigts qui tournent sur sa chatte, le bruit de succion qu’ils font lorsqu’ils entrent et sortent de la vulve distendue. Je me vois la baiser pendant qu’elle suce son mec, je la vois me sucer pendant qu’elle se fait prendre en levrette, et je viens enfin, le sperme jaillit de ma queue en jets chaud sur son visage, je vois en esprit les taches de rousseur qui dégoulinent de jute opaque, elle aspire ma queue et se gorge de ma jouissance, longue, délicieuse.Elle me suce encore longtemps, jusqu’à ce que ma queue soit molle et propre, puis elle se relève, m’embrasse sur la joue, et quitte ma chambre sans un mot.Je m’assieds sur mon lit, ne sachant que penser, mais prêt à dormir, enfin.

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