Un Maître et sa Soumise

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Un Maître et sa SoumiseJ’ai enserré les poignets de Claudia, ma trav soumise, dans des menottes en métal, puis attaché celles ci, au moyen d’une cordelette, à un crochet solidement fixé dans le mur, à plus de 2 mètres du sol.J’ai entravé également ses chevilles, avec une barre d’écartement en acier chromé.Jambes écartées, juchée sur des talons aiguilles vertigineux, bras tendus jusqu’au crochet, ma belle esclave ne porte que des bas blancs soyeux et un corset de la même couleur.Pas de string : son sexe clito, ses fesses s’offrent au regard, aux attouchements et à l’accouplement sans aucune pudeur.Ma belle garce est parfumée, maquillée, coiffée avec recherche ; ses ongles sont laqués rouge sang et sa bouche teintée écarlate. A son cou, un collier en acier, collier pour chienne, collier d’esclave. Ma soumise, secrètement heureuse de son humiliation, cambre fortement sa croupe nue pour me faire comprendre qu’elle espère, qu’elle attend la saillie ! La garce ! de temps à autre, elle lèche ses lèvres lascivement avec sa langue, tout en geignant doucement sur un ton très suggestif, appel aphrodisiaque au coït. Lui montrer que c’est bahis firmaları moi le maître du jeu et non pas elle, lui faire comprendre qu’elle doit rester à sa place de servante et d’esclave ! et pour ce faire, donc la corriger ! Je m’approche d’elle, cravache à la main. Avec celle ci, j’effleure longuement ses mollets si bien dessinés, ses jambes fuselées, ses cuisses fines. La cravache crisse sur le nylon. Je remonte jusqu’au sexe clito et le titille ; il se dresse presque aussitôt, se dilate, prend une teinte violacée. La punir ! un petit sifflement sec, la cravache cingle le sexe clito de ma soumise. Elle pousse un cri aigu de douleur mais aussi d’excitation et de satisfaction. Elle se tortille au bout de ses liens. Je la contourne ; la cravache s’abat vigoureusement à plusieurs reprises sur chaque sphère charnue, les striant de marques rouges. Claudia hurle, la voix pleine de sanglots, tout en essayant par des mouvements convulsifs et vains, d’échapper à la morsure brûlante de la cravache. Je mets fin à la punition ; ses cris, ses déhanchements, ses pleurs, m’excitent comme une bête en rut ! j’ai envie de la saillir kaçak iddaa maintenant ; je sais qu’elle aussi attend l’accouplement pour que s’accomplisse sa féminité et sa condition d’esclave. Dans son dos, je me plaque contre elle. Elle sent contre ses fesses nues le sexe dur. Elle cambre ses reins à l’excès pour s’empaler sur mon dard. Je caresse ses testicules d’une main ; de l’autre je serre fortement son pénis-clito déjà gonflé, gavé de semence. Elle gémit lascivement, se trémousse. Je la branle lentement d’abord, puis, attentif aux réactions de son corps, j’accélère la cadence. Son souffle est court, rauque, haché. Sa queue est dure, chaude dans ma main. Bien qu’honteuse de jouir une nouvelle fois par son clito et non pas par sa chatte anale, elle hurle sans retenue : son sexe- clito crache sa semence blanche en longs jets saccadés ; il éclabousse le mur, souille mes doigts ; encore quelques soubresauts puis le sexe clito débande lentement. Elle s’apaise, sa respiration devient plus régulière. Je remonte les mains doucement vers sa poitrine ; ses deux petits tétons rouges se dressent , bien durs. Je presse les deux kaçak bahis petites mamelles puis les rubis, je les pince fermement. Ils sont tièdes, humides, presque juteux de Lactance. Elle aime cette caresse qui consacre sa féminité ; féline, elle ronronne. Je tire en arrière la chaine qui entrave son cou. Sa nuque se courbe et s’offre ainsi à mes dents, à ma langue, à mon souffle chaud. Je lèche, je mords sa peau odorante, perlée d’une fine sueur salée. Il est temps désormais de la soumettre au coït. Je malaxe vivement, puis, je claque ses deux fesses blanches : elles rougissent, s’échauffent ; je les écarte ; j’effleure le sillon de mon pieu dressé ; la fleur dessinée en corolle, à la chair mate finement irisée, s’offre au gland violacé. Elle cambre ses reins, tend sa croupe qui s’empale presque sur mon sexe ; je l’enfourne alors en un seul mouvement. La chair résiste d’abord ; mais habituée aux saillies multiples des sexes et autres plugs et godes, elle s’ouvre, humide. Je serre ses hanches en plantant mes ongles dans sa peau ; je soumets ses fesses au va et vient, lent d’abord, puis rapide du coït. Elle s’agite convulsivement, pousse des cris perçants, heureuse d’être prise comme une chienne en chaleur par un dogue en rut. J’éclabousse le fond de ses entrailles d’un jus âcre….Nota : le récit n’est pas de moi mais d’un de mes anciens Maîtres

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